Au cœur de la jungle Costaricaine avec Freya Clarke

14 MN

Au cœur de
la jungle avec Freya Clarke

Rencontre avec l'artiste Freya Clarke

Photographies par Nina Ducleux & Freya Clarke

D’origine britannique, Freya Clarke est une artiste phare de notre collection “Travel Diaries”. Après un début de carrière dans le stylisme à Paris, virement de bord, direction Rennes et retour à son premier amour : le dessin. Une période propice à la déconnexion qui va l'emmener, elle et son compagnon, également artiste, Alex Colson, à partir à la découverte du Costa Rica, au cœur de l’Amérique Latine, le tout en van. Si elle n’a pas tenu de carnets de voyage sur place, elle en est revenue avec une inspiration débordante, et l’envie de retranscrire cette expérience

Profitant de sa proximité géographique, Nina, notre photographe, est partie à sa rencontre, dans son atelier à Saint-Lunaire, dans les Côtes d’Armor. L’occasion de prendre quelques clichés, et qu’elle nous raconte ce voyage autour d’un bon café.

Comment en es-tu arrivée à devenir artiste ?
Tu peux nous raconter ton parcours ?

C'est un peu la question fatale qu'on me pose souvent. Alors, autant que je me souvienne, j’ai toujours dessiné, ce depuis que je suis toute petite. Mon père était enseignant en design d’objets à Londres et il avait un truc avec la création, le fait de faire des choses… Ça m’a beaucoup influencée, ce qui fait que le dessin était vraiment dans ma vie.

Le français n’est pas ma langue maternelle, et je pense qu’enfant, dessiner m’aidait à m’exprimer et à verbaliser ce que je ressentais. Ça peut sembler cliché, mais c’est une bonne échappatoire. Au final, je me suis rendu compte que plus j’avançais, plus j’étais plutôt douée à ça, alors que je ne m’étais jamais trop dit que ça pouvait être un métier, parce que j’avais des parents très classiques, du style “il faut être médecin ou avocat”. Mais j’ai continué, j’ai fait une école d’art à Paris, pendant 3 ans. 

C’est une période qui m’a beaucoup marquée en termes de créativité. J’étais partie sur de l’illustration à l’époque, mais j’étais tombée sur une enseignante qui n’accrochait pas trop sur mon style. Je me suis donc mise en tête que l’illustration, ce n’était finalement pas fait pour moi, et ça m’a bloquée pendant un temps.

Je me suis dirigée vers une formation en design de mode, puisque le textile me passionnait, et j’ai fini par obtenir mon diplôme dans ce secteur et suis devenue styliste en accessoires. Ça a été mon métier pendant plusieurs années à Paris. Ce qui m’intéressait, c'était vraiment le côté artisanat, qu’on retrouve dans la maroquinerie par exemple. Ça m’animait réellement, de voir des gens faire quelque chose de leurs mains, aboutir à quelque chose que l’on porte.

Comment as-tu vécu tes années en tant que parisienne ? Et qu’est-ce qui t’a poussée à déménager à Saint-Lunaire ?

J’étais assez jeune, puisque j’avais terminé tôt mes études, mais j’ai arrêté tôt aussi. Je me suis rendu compte que je ne m’y retrouvais pas vraiment dans cette vie parisienne à 3 000 à l’heure, à consommer, dépenser… D’où la bifurcation vers Rennes, et ensuite Saint-Lunaire. En fait, j’ai eu une grosse période de remise en question à cette époque, surtout d’un point de vue éthique et moral. Je travaillais beaucoup dans le moyen de gamme de luxe, et en fonction des marques, ce n’était pas toujours correct. Même créativement, avec mon partenaire, Alex, on saturait. Donc on a fait un premier bond à Rennes, qui n’est finalement pas si loin de Paris, et on y est resté 5 ans.

On a beaucoup voyagé à l’époque, le loyer était moins cher, enfin, la vie, globalement, était moins chère. Donc on a pu vraiment souffler. On vit dans des métiers créatifs, c’est beaucoup au jour le jour et en soi, c’est très cool, mais il faut savoir faire des pauses, s’échapper, se ressourcer, revenir. La vie de famille ensuite nous a fait nous questionner sur le fait de vivre en agglomération. De mon côté, j’ai toujours été plutôt casanière, et j’aime la nature. Donc plus le temps passait, plus on s’échappait de Rennes pour aller en forêt, sur la côte, dans d’autres pays. Au final, on s’est dit, pourquoi, au lieu de faire des petits bonds, on n’irait pas carrément s’installer au bord de la mer, et de faire de ces échappées notre quotidien ?

Comment es-tu revenue vers l’illustration ?

Quand je suis partie de Paris, j’ai eu ce moment à me dire “ok, je quitte le milieu de la mode, mais je fais quoi ?”. Et c’est revenu un peu graduellement, pendant les gros pics de stress que j’avais. C’était d’ailleurs un gros facteur pour quitter la mode, le rapport de stress vis-à-vis de la gratification au travail, j’avais besoin de m’échapper. Souvent, on part sur des trucs classiques : faire du shopping, de la cuisine… Moi, c’était du dessin. Ça m’a fait retrouver ce truc de mon enfance, sur le fait de réussir à verbaliser. Et comme on a déménagé en octobre, novembre 2019, il y a eu le covid. C'est à ce moment, quand on était enfermés pendant 2 mois dans l’appartement, que je me suis dit que c’était l’occasion de poster ce que je faisais et voir ce que ça donnait.

Il y a eu un peu un effet boule de neige, les gens étaient assez friands de ce que je faisais, ça m’a mis un bon coup de boost. Je me suis donnée un an, en me disant, si ça prend, tant mieux, sinon je reste dans le stylisme, tout en me réorientant vers quelque chose qui me convienne plus.

Mon échappatoire, c'était le dessin. Ça m’a fait retrouver ce truc de mon enfance, sur le fait de réussir à verbaliser. 

Cardigan Cartago

Blouson Pura Vida

Dans le cadre de la collection “Travel Diaries”, tu nous as raconté, via ton travail, ton périple au Costa Rica. Est-ce que tu avais une idée créative derrière ce voyage ?

C’est l’un des premiers voyages qu’on a fait, post-Paris, dans le but de se dire “on éteint et on absorbe tout”. On a nos petits voyages ponctuels, où on part à la semaine, ou à la quinzaine, mais on a aussi ceux où on part un mois ou deux, on s’isole complètement, sans téléphone. Des endroits où on se retrouve et on retrouve la nature. Le Costa Rica, c’était un de ces voyages-là. On voulait faire le tour de l’île en van, avec la tente sur le toit. C’était vraiment un voyage pour se ressourcer, et pas dans un but créatif. Mais avec le recul, je me dis que j’aime bien cette idée de carnet de voyage fait après coup. En travaillant sur cette collection, j’ai pu me re-pencher sur mes photos, repenser à des moments.

C’est un peu étrange à dire comme ça, mais malgré le fait que je n’ai peut-être pas tout le temps pris des photos, je me souviens très bien des moments. Par exemple, dans ce pays, il y a des grands vautours rouges, et je me rappelle de comment je me sentais quand je les regardais. Je me disais que c’était sympa d’être dans ce moment-là, de l’absorber et de “coffrer” ces souvenirs et les sentiments qui y sont associés, stockés quelque part dans ma tête. J’ai eu beaucoup de moments comme ça pendant ce voyage.

C’est d’ailleurs un peu dans mon tempérament, j’ai beaucoup de choses dans le visuel qui sont associées à des sentiments. Je vais voir des choses que je n’oublie pas, qui vont rester un peu comme des images subliminales, avec des émotions qui y sont liées, qui ne sont pas non plus dans quelque chose de physique.

C'est pour ça que ce voyage-là, il y a beaucoup de choses où c’était beaucoup de sentiments, d’être juste dans le moment, dans la nature. Il y a une partie de moi, quand je regarde les photos encore, qui se dit que c’est cool d’avoir été dans un pays où la nature est plus importante que tout le reste.

Dans cette idée d’être dans l’instant, il y a ce truc-là, où on était obligés de dormir sur des plages, dans un camping-car, et c’est vrai qu’il n’y a pas non plus mille choses à faire, que ce soit même par rapport à nos ressources. En général, on faisait à manger, on se posait sur la plage et on regardait le coucher de soleil, jusqu’à ce que les moustiques nous attaquent. Il y avait un côté un peu rituel.

On se retrouvait à côté des locaux qui venaient profiter de l’instant après leur journée de boulot. Et on se disait “c’est ça en fait”. Ce n’est pas un hôtel fermé, avec ses plages et piscines remplies de chlore, mais être au bord de la mer, avec des chiens errants qui viennent te voir matins et soirs, avec les locaux qui te respectent parce que tu viens chez eux, mais que tu n’es pas dans le même mode de consommation que tous les touristes. Ça permet de voir les vraies choses. Ce sont des souvenirs que je ne pense pas oublier, parce que je me dis qu’on a vécu des trucs cools, sans même y penser sur le moment, et que c’est important aussi.

Il y a des choses qui t’ont particulièrement inspirée ou qui ont nourri ta créativité sur place ?

Une grosse partie de l’inspiration, pour la collection en particulier, était dans les musées à San Jose. Je n’avais jamais vu des musées qui débordaient à ce point d’artefacts et d’objets, ça m’a beaucoup marquée. En général dans les musées qu’on connaît, c’est souvent très structuré, assez épuré, mais là, pour le coup, c’était à la limite de déborder tellement il y avait de l’artisanat à exposer. Créativement, il y avait beaucoup de choses, c’est après tout une tranche entière de l’histoire et de la culture de l’Amérique Latine.

Dans ce coin-là, il y a quelque chose d’hyper fort en lien avec l’animal, la nature et la mythologie, un rapport un peu chamanique ou spirituel finalement. En fait, dans mes premières inspirations, ce qui m’animait vraiment, c’était la mythologie, donc je m’y retrouvais bien. Parce que, pour la petite parenthèse, mon père nous contait beaucoup les récits de la mythologie grecque, ça m’inspirait beaucoup.

En-dehors de ça, pour moi, le Costa Rica, ce sont beaucoup les couleurs aussi. Ils savent les accorder ensemble. Ce n’est peut-être pas quelque chose qu’on voit beaucoup du côté européen, mais il y a de la couleur partout et un travail typographique incroyable sur les enseignes et logos.

Et il y a aussi ce truc là-bas, de concentrer 5 % de la biodiversité mondiale, c’est assez énorme pour une superficie pareille. Tu as tous les climats, entre les montagnes, les volcans, l’océan, le désert aussi parfois. Ça donne forcément de la diversité dans ce que j’ai produit pour la collection. Tout ça pour dire, qu’au niveau inspiration, il y avait beaucoup de choses, entre l’architecture, les couleurs, la végétation et les animaux.

J’imagine que sur un voyage de cet ordre, tu dois avoir une multitude d'anecdotes, tu en aurais à nous partager ?

Alors, oui, il y en a eu pas mal, certaines un peu plus marrantes que d’autres, mais c’est le concept aussi, de dormir dans un pick-up avec une tente sur le toit. C’est un pays qu’on te vend souvent comme relativement dangereux, parce que c’est l’Amérique Latine et un lieu de passage pour les trafics de drogue… Mais au final, ta perception de l’endroit dépend surtout de ce que tu mets dans ton voyage, de ce que tu dégages. Je pense qu'il y avait une forme de respect pour nous, probablement parce qu’on était en marge du circuit touristique habituel. On se retrouvait souvent spectateurs de beaucoup de choses, finalement.

Il y a un aspect qui m’a assez étonnée, c’est qu’il s’agit d’un pays où la différence riche/pauvre est très accentuée, il n’y a pas vraiment d’entre-deux, ça m’avait pas mal choquée. En gros, le côté très riche, c’est forcément l’Américain, parce que c’est un peu le pays de retraite des USA, et le très pauvre, ça va être le Costaricain.

Pour le côté anecdotes, globalement, c’est beaucoup avec les animaux. En même temps, quand tu campes pendant un moment au même endroit, forcément, tu crées des affinités avec ton environnement et donc, les animaux. En définitive, c’est toi qui squattes leur spot.

Je me rappelle de cette fois, où on est remonté dans la partie Nord, vers la chaîne de montagne des Cloud Mountains. En redescendant de là vers l’ouest, tu arrives à la péninsule d'Osa, qui concentre la quasi-totalité des espèces animales du pays. C’est un lieu qui n’est pas facilement accessible, un peu à la Jurassic Park, soit tu y vas en avion privé, parce qu’il y a une bande d’atterrissages pour les resorts, soit en voiture, mais une voiture vraiment capable de tenir. Nous, en y allant, ça a été un enfer. Bref.

Le lieu était complètement envahi de Perroquet. Au début, on trouvait ça génial, quand tu en vois un, c’est magnifique, le deuxième, trop beau, mais arrivé à 100, ce n’est plus tout à fait pareil. Ils mangent des amandes, mais ils les recrachent, donc toutes les 5 minutes, tu te prends une coque d’amande dans la figure. Entre ça et leurs hurlements… J’en suis arrivée à me dire “je vous déteste, je vous aime, mais je vous déteste”.

Il faut savoir qu’il y a beaucoup de choses sonores là-bas, à tel point que lorsqu’on est rentrés, on a trouvé que Paris était une ville silencieuse. Par exemple, la nuit, on entendait les coatis et/ou ratons laveurs gratter tout autour de notre tente, à la recherche de nourriture. En sortant, on voyait une multitude de paires d’yeux qui nous regardait, attendant qu’on dépose nos poubelles. Ils nous les volaient, même si on les accrochait en hauteur. 

En fait, avec tous les animaux il se passe un truc assez mignon. Même avec les cafards, ils sont tellement gros là-bas que tu n’as pas vraiment cette notion d’insecte. Il y en a tellement que les Costaricains cohabitent très bien avec eux, et il faut s’y habituer. Par exemple, dans les supérettes, il y en a partout, mais dans un sens, c’est bon signe, ça fait partie du truc, c’est un peu le cachet local. On en a un qui nous a suivi dans la camionnette tout le long du voyage. On l’a appelé Miguel, on a fini par réussir à l’avoir et à le faire sortir.

Il y a un truc assez majestueux avec les animaux là-bas. On n’a pas réussi à tout voir, mais une grande partie quand même, dont certaines espèces qu’on n’aurait jamais pensé approcher.

À quel moment êtes-vous partis ?

Au mois de janvier, on a coupé dans la saison un peu moche en Bretagne. Et du côté du Costa Rica, c’est vraiment une saison où tu n’es pas sur la saison des pluies, mais pas non plus en plein été, à un moment un peu sec, donc c’est assez idéal comme moment.

Après, comme je disais, il y a pas mal de micro-climats là-bas. Moi, j’avais prévu de quoi affronter quelques intempéries, mais pas non plus le froid, me disant que c’était une région où ça devrait aller plutôt bien. Mais à un moment, on a traversé la chaîne de montagnes du Costa Rica, dans le but de voir des quetzals. La première nuit, on a dormi tout en haut des montagnes, donc déjà, on a eu du mal à respirer à cause de la hauteur et ensuite super froid. On est passé de 35 degrés la veille, à transpirer rien qu’en bougeant le petit doigt, à moins 1 en pleine montagne.

Et donc, vous avez finalement pu voir les quetzals ?

Oui, suite à ça, on a pris un Airbnb pour la première fois du séjour. Et en fait, on avait demandé à une dame, complètement au hasard, qui nous a dit qu’elle avait des champs d’avocats, et donc qu’elle avait des quetzals dans son jardin. On était super contents, parce que sinon, tu as des guides spéciaux pour ça, avec des sifflets, qui les appellent, tu les vois, tu prends ta photo, tu paies et il s’en va. Et nous, à peine nous a-t-elle parlé de ces oiseaux, qu’il y en a un qui est venu se poser sur un avocat, donc c’était génial, c’est vraiment un animal magnifique, super coloré.

Tu dirais que tu gardes quoi de ce voyage ?

Tous les animaux reviennent dans les travaux que je fais, le boucan aussi. C’est resté dans mon ADN. Comme le pattern de la chemisette, qui représente bien le voyage, avec toutes ces choses qui se passent dans la nature, l’architecture, les couleurs, la vie sur place, la ville, le bruit, la musique. Ça grouille tout le temps.

Il y a de la musique partout, les gens sont chaleureux, ils sont dehors, ils bougent, ils dansent, les animaux sont là matin, midi, soir. C’est vraiment une effervescence en présence tout le temps, qui est à la fois apaisante et stimulante. Ça colle pas mal à mon univers en fait. En-tout-cas, je me suis bien retrouvée là-dedans, et j’essaie de le retranscrire dans mes dessins et dans mes peintures.

J’aime bien toucher à tout, me renouveler, tester de nouvelles choses, multiplier les médiums. Je pense que c’est quelque chose que l’on néglige. Les gens se mettent des barrières, à se dire qu’ils n’ont pas de légitimité, mais au final, personne ne peut te mettre de freins si tu aimes faire un truc. Et en voyant ce qui se faisait là-bas, en termes de graphisme par exemple, ça aide à se dire que les limites qu’on se fixe, on peut les faire sauter de manière super positive.

Toutes les pièces en collaboration avec l'artiste Freya Clarke

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